Rhinoplastie conservatrice : pour quels types de correction ?

En France, chaque année voit la réalisation de 15 000 rhinoplasties. Cette intervention nasale englobe diverses techniques adaptées aux besoins esthétiques individuels. Parmi ces méthodes, la rhinoplastie conservatrice, ou « Preservation Rhinoplasty », est une approche récente plébiscitée par les spécialistes du monde entier. Le Dr Durbec, expert en chirurgie nasale, vous explique les différentes corrections possibles grâce à cette technique.

Quelles corrections peut-on envisager avec la rhinoplastie conservatrice ?

La rhinoplastie conservatrice se distingue par l’abandon des techniques de résection au profit de celles de conservation et de repositionnement, visant à limiter les retouches chirurgicales. Cette méthode est donc applicable dans la majorité des situations, notamment pour :

• Réduire un nez trop long
• Rectifier une bosse nasale
• Corriger une pointe de nez tombante ou bulbeuse

La rhinoplastie conservatrice représente une véritable révolution dans le domaine de la chirurgie nasale, offrant des résultats très naturels. Cependant, elle n’est pas toujours envisageable pour les patients ayant déjà subi une rhinoplastie. Le Dr Durbec évalue chaque cas individuellement pour déterminer la faisabilité de cette technique. En tant que chirurgien renommé spécialisé dans les rhinoplasties, il vous reçoit dans son cabinet parisien pour répondre à toutes vos questions et vous accompagner tout au long de votre parcours chirurgical.

Pourquoi faire une rhinoplastie conservatrice ?

Cette technique se distingue par sa nature peu invasive, visant à préserver autant que possible la structure naturelle du nez et à éviter les reprises chirurgicales. La rhinoplastie conservatrice s’efforce de maintenir intactes les trois unités structurelles du nez.

• Le dorsum : La partie médiane du nez où se forme souvent une bosse. Contrairement aux techniques classiques qui ouvrent cette zone et nécessitent une reconstruction, la rhinoplastie conservatrice préserve les os et les cartilages en les remodelant sans les fracturer.
• L’enveloppe cutanée : La technique traditionnelle implique souvent un décollement de la peau, ce qui peut affiner celle-ci avec le temps. La méthode conservatrice, en revanche, favorise une cicatrisation plus rapide et réduit l’œdème tout en préservant les tissus.
• Les cartilages alaires : Plutôt que de recourir à des résections et greffes, la rhinoplastie conservatrice privilégie le repositionnement des cartilages, évitant ainsi les déformations à long terme.

Les atouts de la rhinoplastie conservatrice

Les avantages de cette méthode sont nombreux :

• Intervention peu invasive
• Récupération rapide
• Gonflement postopératoire minimal
• Absence de cicatrices visibles dans la plupart des cas
• Peau du nez moins fragilisée
• Conservation de l’apparence naturelle du nez